Le 27 et 28 mai derniers, l’École de santé publique de l’Université de Montréal, en partenariat avec le CRCHUM, a accueilli avec fierté le 15e atelier de l’International Network for Research on Inequalities in Child Health (INRICH). |
Cet événement, codirigé cette année par Sylvana Côté et Lise Gauvin [professeures à l’ESPUM et membres de l’Observatoire pour l’éducation et la santé des enfants (OPES)] avec l’aide des membres du comité organisateur Emmanuelle Arpin (stagiaire postdoctorale, Université McGill) et Karina Dubois-Nguyen [directrice de l’Unité de santé internationale (USI)], Nicholas Spencer (professeur émérite, Université Warwick) et Louise Séguin (professeure retraitée, ESPUM) avait pour thème, comment Réduire la pauvreté des enfants pour améliorer leur santé et leur développement : quelles sont les interventions efficaces? L’atelier a réuni près de 60 participant(e)s, incluant étudiant(e)s, professeur(e)s, chercheurs et chercheuses, provenant de diverses institutions à travers le monde, telles les Universités de Warwick, Bristol, York, la London School of Economics (Angleterre); HEC Paris (France) et les Universités de Floride et de Californie (États-Unis) ainsi que l’Université de Montréal, l’Université McGill, l’UQAM. Ces journées scientifiques ont offert une plateforme unique pour des échanges enrichissants entre la communauté d’expert(e)s, de professeur(e)s et des étudiant(e)s du domaine. Parmi ces derniers, saluons chaleureusement les étudiant(e)s de madame Côté, Laurie Charest (candidate au Ph.D en neuropsychologie clinique, Centre de recherche du CHU Sainte-Justine, Université de Montréal), Jean-Christophe Goulet-Pelletier (Ph.D Psychologie Expérimentale, Postdoctorant OPES, Centre de recherche du CHU Sainte-Justine, Université de Montréal) et Marie-Love Jacques (Maitrise en Santé Publique, Centre de recherche du CHU Sainte-Justine, École de Santé Publique de l’Université de Montréal), pour avoir veillé au bon déroulement de l’événement à titre de bénévole. |
La présentation de Sylvana Côté sur la contribution des services de garde à la réduction des inégalités sociales de santé chez les tout-petits et celle de son étudiante Ophélie Collet (doctorante en santé publique, Université de Montréal, École de santé publique, lauréate INRICH pour son affiche scientifique) pour son étude populationnelle visant à réduire l’écart socioéconomique en matière de préparation à l’école grâce aux services d’éducation et de garde de la petite enfance furent parmi les éléments forts de l’événement.
Nous vous invitons à consulter le site INRICH où vous trouverez les présentations et par la suite toutes les captations de l’événement.