Un plan pour réduire les inégalités dans le développement des enfants causées par la pandémie: c’est le cœur d’un article de Sylvana Côté publié dans la «Revue canadienne de santé publique».
Les enfants ne vivent pas tous le confinement de la même façon. «Ceux qui le vivent dans une maison de campagne à Charlevoix et qui font beaucoup de ski ont de bonnes chances de moins en subir les effets à long terme que ceux qui habitent dans un logement insalubre et dont les parents sont absents ou supportent beaucoup de stress», affirme d’emblée Sylvana Côté, directrice de l’Observatoire pour l’éducation et la santé des enfants (OPES).