C’est ce que confirme des chercheurs américains et australiens qui ont étudié les résultats scolaires d’enfants né prématurément.

Ceux qui ont reçu les plus grandes quantités de lait maternel, aussi bien pendant qu’après leur hospitalisation à l’unité de soins intensifs néonatals, s’en tiraient mieux à l’école quelques années plus tard.

« C’est certain que si on peut voir un effet bénéfique du lait maternel sur le développement de l’enfant, que c’est une mesure de protection qui peut vraiment favoriser le développement du cerveau de l’enfant, alors je pense que c’est encore plus important » témoigne la Dre Thuy Mai Luu.