Un article du Toronto Star, signé par les chercheuses Catherine Haeck (UQAM) et Christine Neill (Wilfrid Laurier), fait état des conséquences désastreuses de l’école à la maison pour les enfants, mais aussi pour l’économie en général. Les chercheuses proposent des solutions et invitent les gouvernements à investir dans les écoles et à mettre en place des mesures correctives pour soutenir les jeunes les plus à risques et favoriser la reprise des cours en présentiel.